Notre safraneraie en Haute-Savoie (74)
Notre safraneraie en Haute-Savoie
Voilà comment tout a commencé !
En pleine réflexion sur mon avenir professionnel prochain, j’hésitai entre retourner travailler administrativement dans le commerce international, comme je l’avais fait pendant une dizaine d’années au début de ma carrière professionnelle, ou alors rouvrir la pension équestre que j’avais créée en parallèle une vingtaine d’années plus tôt.
Et c’est en me baladant avec mon brave cheval dans la campagne franco-genevoise, que nous nous sommes arrêtés aux abords d’une petite parcelle de terre que ma famille cultivait depuis cinq générations.
Ce fut une révélation, l’idée était toute trouvée !
J’avais besoin de liberté, de grands espaces, d’être en connexion avec la nature et cette petite parcelle allait pouvoir me permettre un retour à la terre. Cette décision allait motiver la suite de ma carrière et m’orienter vers la culture du safran, tout en reprenant mes activités équestres.
Notre safraneraie en Haute-Savoie
Voilà comment tout a commencé !
En pleine réflexion sur mon avenir professionnel prochain, j’hésitai entre retourner travailler administrativement dans le commerce international, comme je l’avais fait pendant une dizaine d’années au début de ma carrière professionnelle, ou alors rouvrir la pension équestre que j’avais créée en parallèle une vingtaine d’années plus tôt.
Et c’est en me baladant avec mon brave cheval dans la campagne franco-genevoise, que nous nous sommes arrêtés aux abords d’une petite parcelle de terre que ma famille cultivait depuis cinq générations.
Ce fut une révélation, l’idée était toute trouvée !
J’avais besoin de liberté, de grands espaces, d’être en connexion avec la nature et cette petite parcelle allait pouvoir me permettre un retour à la terre. Cette décision allait motiver la suite de ma carrière et m’orienter vers la culture du safran, tout en reprenant mes activités équestres.
Mais pourquoi le safran me direz-vous ?
Fille d’agriculteurs depuis cinq générations, j’aurai pu suivre comme ma famille, le même chemin, cultiver des pommes de terre et des oignons, mais l’envie de travailler un produit plus rare, plus atypique, plus exotique, plus féminin, précieux et raffiné, ne demandant pas trop de surface de travail ni de stockage et peu d’apport en eau … idéal pour des méthodes de cultures respectueuses de l’environnement.
Cette épice magique, un peu oubliée en France, mais tellement prisée dans le monde entier pour ses multiples vertus, méritait que l’on parle d’elle dans notre cher bassin genevois !
Un véritable défi dans lequel j’allais me lancer avec passion ! Et encouragée par le soutien infaillible de ma famille et de mes amis que je ne remercierai jamais assez.